La cueillette sauvage c’est un appel à se promener plus attentivement et prendre le temps à apprendre le langage de la foret. La cueillette et la cuisine de plantes sauvages sont un prétexte formidable pour redécouvrir un univers presque perdu dans nos jours.
De chasseurs-cueilleurs, nous sommes devenus des cultivateurs, puis des simples consommateurs. Un rôle passif qui nous limite à ce qui est offert en magasin.
Les aliments sauvages contiennent des concentrations de micronutriments souvent inégalées par les produits issus de l’agriculture de masse. Les légumes et verdures sauvages constituent un groupe alimentaire riche et varié en goûts, en textures et en types de plantes. Il y a des légumes feuilles qu’on mange en salade ou cuits comme des épinards, qu’on sert en accompagnement. Il y a d’autres qu’on récolte pour leur racines, bulbes et tubercules.
En automne, on cueille les racine et tubercules
À l’approche de la saison froide, les plantes emmagasinent dans leurs racines et leurs tubercules les nutriments qui leur serviront à croître pendant l’été. Avant que le sol gèle, c’est le meilleur moment de les cueillir.
Le prélèvement des racines implique généralement le sacrifice de la plante et leur cueillette est une des plus sensible. Certaines espèces des plantes rares doivent être cueillis avec davantage précaution dans des quantités limités.
Les racines des plantes très abondantes, comme le pissenlit ou la quenouille, peuvent être cueillis sans problèmes.
3 Recettes savoureuses à base d’Ortie [ Soupe, galettes et pesto]
Filet de chevreuil tataki à la comptonie voyageuse
Carotte sauvage | Cueillir et cuisiner
